madmoizelle Pop culture Cinéma Les images de Skyfall seraient-elles faites pour coller aux dialogues de La Cité de la Peur ? What’s the mashup nous prouve que la réponse est oui. Les génies de What’s the Mashup, déjà à l’origine de Titanic VS Les Bronzés, ont récidivé – et quelle récidive ! Ils ont choisi d’allier Skyfall à La Cité de la Peur en toute objectivité, le meilleur film du monde qu’il est bien pour le regarder. C’est un peu foufou de voir à quel point les images du James Bond vont à merveille avec les dialogues du film de Les Nuls. Personnellement, voir Javier Bardem blond en train de chauffer Daniel Craig avec la voix de Gérard Darmon, ça me fait quelque chose. Même si je suis personnellement absolument contre la commercialisation des clapiottes. À lire aussi Skyfall vs Toxic, le mashup Adele vs Britney Spears Publié le 12 septembre 2014 à 09h55 12 septembre 2014 à 17h08 Demezia ahaha ça m'arrive peu souvent devant les vidéos internet mais là , j'ai carrément explosé de rire à la scène Javier Barden/Daniel Craig, j'avais raté cette scène érotique lors du visionnage de Skyfall ... 0
Lesnuls: La Cité de la peur ( bande annonce ) 08:46 Politique La prime de rentrée exceptionnelle "sera bien versée à ceux qui en ont le plus besoin, courant septembre", assure Bruno Le Maire
Le 14/10/2008 à 0712 Par Presque 15 ans après sa sortie en salle bon sang, ça nous rajeunit pas..., le film culte de les Nuls, La Cité de la Peur, se voit enfin offrir une édition collector en DVD digne de ce nom. Au programme des réjouissances, cette édition StudioCanal Vidéo est proposée dans un écrin métalisé en forme de boite de bobine de pellicule très toc à l'intérieur ! et propose deux DVD, dont le premier reprend les bonus de la précédente édition et le second propose un module inédit intitulé "24H grand écran pour les Nuls" d'une durée de 51 mn. Comme il serait bien inutile de présenter plus encore ce film, qui au même titre les Tontons Flingueurs, Wayne's World, Last Action Hero et Le Dernier Samaritain se doit d'être connu par cœur par tout cinéphile qui se respecte, place tout de suite au test. Sortie le 14 Octobre 2008. Decouvrez le Test DVD de La Cité de la Peur - Collector ci-dessous. Image 8/20 Déjà édité par Studio Canal il y a quelques années, la Cité de la Peur fait ici peau neuve avec cette édition 2008. Et si l'ensemble s'avère plutôt beaucoup mieux qu'avant, on notera tout de même que cette version collector contient du bon et du moins bon au niveau de l'image. Du côté du bon, une définition plus précise et un nettoyage complet de la copie, rendant bien plus agréable la vision du film des Nuls, qui retrouve ici toute sa jeunesse. Un effort a aussi été fait du point de vue de la colorimétrie, puisque la dominante rouge-orangée de la précédente édition fait place ici à quelque chose de beaucoup plus homogène et naturel. Enfin, les contrastes aussi semblent avoir été un poil reboostés notamment dans les scènes de nuit, ce qui a pour effet direct de rendre l'image beaucoup plus punchie, moins fade et moins délavée. En revanche, on remarquera que si ce nouveau transfert exploite toute la largeur du format 16/9 du DVD, on perd légèrement en informations en haut et en bas de l'image. Un léger recadrage, vraiment minime, mais un recadrage quand même, que nous nous devions de éditionNouvelle éditionAncienne éditionNouvelle éditionAncienne éditionNouvelle éditionAncienne éditionNouvelle éditionAncienne éditionNouvelle éditionAncienne éditionNouvelle éditionAncienne éditionNouvelle édition Son 7/20 On reprend les mêmes et on recommence. Les deux pistes française stéréo et espagnole ? déjà présentes sur la précédente édition se retrouvent ici à l'identique et font leur travail honnêtement, mettant les excellents dialogues du film en avant. Pas de Dolby Digital mais après tout, si le film n'a pas été pensé de la sorte... Bonus 6/20 Le premier DVD reprend donc les bonus de l'ancienne édition et accessoirement aussi de la VHS d'époque à savoir une très courte mais très drôle featurette d'époque de 4mn, une filmographie des comédiens, les bandes annonces du film et le clip vidéo de la célèbre Carioca interprétée par Alain Chabat et Gérard de neuf sous le soleil et on en entend déjà quelques-uns hurler à l'escroquerie. Mais c'était sans compter le second DVD auquel cette édition collector doit largement son salut grâce à la présence d'un documentaire assez exceptionnel intitulé 24h grand écran pour les Nuls 51 mn. On est ici bien loin du making-of habituel, puisque ce module nous plonge dans une journée type du tournage du film, du lever sur le coup des 1h - "Quoi déjà ? "Non mais j'avance un peu..." jusqu'au coucher de toute l'équipe tard dans la nuit. Des trois comédiens principaux à l'assistant réalisateur en passant par Alain Berberian et une figurante nommée Yvette la fameuse Sous-préfète si chère à Olivier Doran, tous ont ici leur petit moment à l'écran, pour évoquer par leurs agissements le quotidien de ce tournage "très famille" comme dirait Chantal Lauby. Un document à ne louper sous aucun prétexte si on est fan du film. C'est peu certes on aurait aimé un petit commentaire audio, voire une interview des auteurs du film 15 ans après, mais c'est quand même mieux que si c'était moins bien. La Cité de la Peur - collector Sortie 14 Octobre 2008 Éditeur Studio Canal Video
Lacité de la peur. Disponible sur Prime Video, iTunes. Odile Deray est l'attachée de presse de "Red is Dead", film d'horreur de série Z, présenté au marché du film du festival de Cannes. Personne ne vient aux projections. "Par chance", un jour,
Avec son rire inoubliable, son allure de grand enfant attachant, et ses gags indémodables, Simon Jérémi de La Cité de la peur est un modèle de joie au cinéma. Quand j’suis content je vomis. Et là , j’suis hyper content. Si vous êtes francophone, vous connaissez forcément cette réplique culte du personnage non moins culte qu’est Simon Jérémi l’acteur principal du faux film Red is Dead dans le – vrai – film La Cité de la peur. Cette comédie familiale », comme elle se définit elle même, fut réalisé en 1994 par Alain Berbérian sur un scenario du trio comique Les Nuls composé d’Alain Chabat, de Chantal Lauby et de Dominique Farrugia, l’interprète de Simon Jérémi. Elle fête donc ses 25 ans cette année, et les célèbrera avec un retour sur les toiles en version restaurée le 5 juin et une ressortie en DVD et BluRay prochainement. En attendant de pouvoir le redécouvrir, retour vers La Cité de la peur et son personnage phare, qui inspire toujours et encore le rire et la joie au cinéma. S’il y a bien un mot pour définir La Cité de la peur, c’est bien le mot culte. On pense tout de suite à ses répliques classiques, que tout le monde a déjà entendu au moins une fois et peut réciter, même sans avoir vu le film. Simon Jérémi est avant tout l’icône de cette comédie qui a su traverser le temps et les générations il est le visage souriant qui illustre la joie et les rires que La Cité de la peur donne à son public. Cela s’explique par le fait qu’il est le personnage le plus facilement identifiable du trio principal Dominique Farrugia était en ce sens le meilleur choix possible pour incarner ce personnage. Car c’est d’abord grâce à son physique et à ses manières que l’on associe si logiquement Simon Jérémi à la joie avec son énorme sourire toutes dents déployées et sa personnalité puérile. Le film l’introduit d’ailleurs un ballon à la main et accompagné d’une hôtesse qui le guide, tel un enfant, lors de la scène de l’aéroport. Ce personnage a tout du simplet attachant, celui qui rigole en toute situation et à toutes les blagues des autres personnages. Mais il rappelle également à bien des titres l’archétype du bouffon ce fou » a l’humour souvent trivial – comme l’est le principal comique de répétition de Simon Jérémi vomir quand il est content – dont l’unique objectif est de faire rire l’audience. Le comique de La Cité de la peur repose surtout sur une accumulation de gags qui s’enchaînent sans aucun temps mort. Ce qui permet de tabler sur tous les types d’humour et donc forcément de faire rire quels que soient les goûts du spectateur. On passe ainsi de la parodie – avec le pastiche de la célèbre séquence de Pretty Woman – à l’humour gras à la limite du potache qui a fait la renommée de Les Nuls – le fameux oh, juste un doigt » – sans oublier le comique de mots, de situation, et surtout d’absurde. Il y a fort à parier qu’au moins une scène saura vous donner le sourire et vous mettre en joie. La force de La Cité de la peur, c’est aussi de s’être basée sur un comique plus anglo-saxon, plutôt que sur ce qui se faisait traditionnellement en comédie française. On y retrouve l’empreinte de l’humour des Monty Python mais surtout du collectif américain ZAZ », l’une des principales influences de Les Nuls, formé de David et Jerry Zucker et de Jim Abrahams. En bref, La Cité de la peur est un film dont l’unique but est de faire rire – quitte à ne pas se prendre au sérieux – et qui pousse cette volonté jusque dans son générique de fin et même dans sa aussi C’est surement ce qui explique qu’il reste, même après 25 ans, l’une des comédies françaises chouchous du grand public. Prenez-en pour preuve l’existence d’une pétition sur le site dont la seule demande était de revoir danser la fameuse Carioca d’Alain Chabat et de Gérard Darmon lors du festival de Cannes de cette année. La Cité de la peur, c’est un cocktail réunissant les ingrédients essentiels pour un film qui inspire la joie, même après plusieurs visionnages. Mais c’est aussi le film qui a marqué l’arrivée sur grand écran de Les Nuls, influençant grandement la suite de leur carrière au cinéma. Alain Chabat et Dominique Farrugia ont depuis réalisé d’autres comédies françaises devenus cultes à leur tour, notamment Astérix et Obélix Mission Cléopâtre – à la 15e position des films préférés des Français selon un sondage BVA/France 2 tout de même – ou encore La Stratégie de l’échec. Tandis que Chantal Lauby s’est épanouie en tant qu’actrice dans plus de 20 films, dont Qu’est-ce qu’on a fait au Bon Dieu ? – quant à lui à la 13e place dans le cœur des Français. C’est au final bien plus que 25 ans de rire et de répliques d’anthologie que l’on doit à La Cité de la peur et à son adorable bouffon. C’est sans doute pour cela que le simple sourire de Simon Jérémi nous évoque autant la joie.
De Les Nuls et c’est comme ça qu’on dit ! Alain Chabat, Chantal Lauby, Dominique Farrugia et Bruno Carette. Une bande de copains qui, dans les années 80, a fait les belles soirées en clair de Canal+. Malheureusement, la décennie suivante s’amorce avec le décès de trio démotivé s’épuise à préparer des quotidiennes télé très se tourne alors vers le cinéma, avec un complice de toujours, le réalisateur Alain le 9 mars 1994, sort La Cité de la Peur. Retour sur les anecdotes qui expliquent pourquoi ce film est devenu culte. 1 – Personne n’y croyait, le public l’a fait ! Quand Les Nuls lancent leur projet, ce sont de vrais stars du petit écran. Mais ce succès populaire n’impressionne pas les producteurs de cinéma … Eux font de l’art, du vrai ! Le trio sollicite d’abord le réalisateur Claude Berry, qui refuse à cause du scénario un peu débile ». Alors, c’est leur copain Alain Berbérian, déjà aux manettes des parodies télévisuelles, qui s’y 2011, il se souvient pour Nice Matin Les gens de la profession nous prenaient pour des ringards parce qu’on venait de la télé, mais dès la sortie du film, les salles étaient pleines. Ce sont surtout les jeunes de 15 à 20 ans, qui ont fait le succès de ce film. » 2,2 millions d’entrées tout de même … Pour des Nuls, c’est pas mal ! 2 – Red is dead … mais à l’écran ! La Cité de la Peur s’ouvre sur un extrait du faux-film Red is dead, dont tout le scénario dépend. Mais cette parodie de film B agace encore les producteurs. Alain Berbérian évite que Les Nuls ne l’enlèvent de la version finale. Si vous pensez que vous avez raison, battez-vous, et n’écoutez pas les autres. » Sage l’avant-première, les producteurs doivent admettre que tout le monde éclatait de rire ». 3 – Des références pas si nulles Car contrairement à ce que la profession craignait, La Cité de la Peur est fait par des cinéphiles. Le film multiplie les références pointues. Quelques exemples. Les gags visuels s’apparentent à Hamburger Film Sandwich John Landis, 1977 écrit par le trio ZAZ Zucker – Abrahams – Zucker à qui l’on doit les délirants Y a-t-il … un pilote dans l’avion / un flic pour sauver la reine …, ancêtres des Scary Movie. D’ailleurs, La Carioca est une reprise de la chanson qui ouvre ce film, elle-même inspirée d’un numéro de Fred Astaire et Ginger Rogers dans Carioca Thornton Freeland, 1933. Sans oublier les parodies plus de la séquence shopping dans Pretty Woman Garry Marshall, 1990. Ou l’interrogatoire de Chantal Lauby qui reprend plan par plan ou presque celui de Basic Instinct Paul Verhoeven, 1992. 4 – Cannes hors-saison Pour parler cinéma, rien de mieux que sa capitale Cannes, en plein festival … Sauf que la grande majorité du film est tournée à Paris !Pour les quelques scènes de Cannes, elles sont mises en boîte en juillet 1993, plusieurs semaines après les festivités ! Faute de vrai public, il a fallu engager plus de 800 figurants et faire appel à quelques potes autres, les réalisateurs Michel Hazanavicius et James Cameron, l’actrice Rosanna Arquette et Pierre Lescure, directeur de Canal+ de l’époque. 5 – Un générique décalé La Cité de la Peur a de nombreux autres caméos que Les Nuls citent à leur façon. Jean-Pierre Bacri, Eddy Mitchell, Daniel Gélin et Tchéky Karyo jouent les projectionnistes assassinés. Logiquement, ils sont cités au générique comme ceux qui ont accepté de mourir pour le film ». À leurs côtés du moins dans la liste Peter Parker et Bruce Wayne, les noms de Spiderman et Batman. Même les acteurs absents » sont cités – Gérard Lanvin, coupé au tendon » dont la participation fut annulée à cause d’une réelle blessure– et un certain Tom Crouze » coupé au montage ! 6 – Valérie Lemercier … ou pas ! Et puis il y a Valérie Lemercier, dans un rôle de veuve qui met seize sucres dans une très grande tasse …Sauf que l’actrice raconta en 2013 à Allociné J’ai eu un petit coup de mou pendant le tournage … J’ai oublié pour la première fois de ma carrière d’aller tourner ! Ma petite sœur était scripte stagiaire sur le film, et du coup, elle m’a remplacée. Pierre Lescure est passé sur le tournage et disait Mais, quoi ? Vous avez Valérie Lemercier dans le film et vous ne faites pas de gros plan ? » Alors ils lui ont expliqué. Mais il y a seulement un plan où c’est ma sœur. » Heureusement, c’est à s’y méprendre ! 7 – La caméra cachée de Dave Le chanteur de Vanina » est en pleine traversée du désert quand on lui propose un caméo dans La Cité de la Peur. Je me demandais si ce n’était pas une blague pour l’émission Surprise sur prise ! Chabat m’appelle et me propose 10 000 francs pour venir tourner. Bon, j’accepte pour l’argent … mais je n’y crois pas, à cette histoire de film. On m’envoie le billet aller-retour pour Paris/Nice, et quand j’arrive à Nice, une limousine m’amène à l’hôtel Martinez. Je me dis “Dites donc, ils ont du blé Surprise sur prise !” Je n’avais participé à aucune émission des Nuls, je ne le connaissais pas. » Une très brève apparition pour dire Non » qui a contribué à relancer sa carrière. Merci Alain Chabat ! 8 – Chronique d’une mort annoncée En plus de jouer le serial killer du film Red is dead, Alain Chabat interprète Serge référence au roman Les frères Karamazov 1879 de Dostoïevski d’où sa réplique récurrente Aucun lien, je suis fils unique » qui parle dun parricide. Quant à Odile Deray, le personnage de Chantal Lauby, c’est une référence à Gilles de Rais, jugé en 1440 pour le meurtre de 140 enfants ou plus », et qui inspira le conte de Barbe Bleue. Autre clin d’oeil morbide chaque projectionniste évoque sa mort juste avant qu’elle n’arrive. Comme C’était mortel aujourd’hui ! » Eddy Mitchell ou Oh, je vais mourir dans deux minutes ! » Jean-Pierre Bacri. 9 – Le pari de Gérard Darmon La Cité de la Peur est donné des répliques et scènes Darmon ne peut plus faire un pas sans qu’on lui parle de La Carioca » ! Au point d’avoir parier avec Maurice Barthélémy, qui le faisait jouer dans son film Low Cost 2011, un dîner payé pour chaque danse réclamée pendant leur Darmon a raconté l’anecdote, il en était déjà à son sixième dîner ! Et en 2019, pour fêter les 25 ans de la sortie du film, devinez quelle scène ont rejouée Chabat et Darmon ?! 10 – Bruno Carette forever ! Or, si son rôle semble désormais évident, Gérard Darmon a failli ne pas jouer le commissaire Bialès, puisque le rôle devait être joué par le regretté quatrième Nul, Bruno Carette. Ses amis l’ont néanmoins fait apparaître de façon posthume, en intégrant une séquence enregistrée à leur époque Nulle part Carette est grimé en Misou-Mizou, un de ses personnages emblématiques. En Bref ! Comédie écrite par Les Nuls et réalisée par Alain BerbérianSortie 1994Avec Alain Chabat, Chantal Lauby, Dominique Farrugia … De quoi ça parle ? L’attachée de presse Odile Deray Lauby tente désespérément de vendre le film Red is Dead au festival de ce navet sanglant n’intéresse personne … Jusqu’à ce que ses projectionnistes soient assassinés les uns après les le coup de pub, Odile Deray invite sur la Croisette Simon Jérémi Farrugia, l’acteur principal de Red is Dead, protégé par le garde du corps, Serge Karamazov Chabat.Pendant ce temps, le commissaire Bialès Darmon enquête … Comment ça finit ? Petit spoiler après de nombreux et loufoques rebondissements, l’assassin est découvert. On vous épargne son nom même si ce n’est vraiment pas l’intérêt du film !Pourceux qui ont aimé le mashup "Skyfall VS La Cité de la peur" me suis plié à l'exercice de l'inverser, voici donc les images AlloCiné News Cinéma Meilleurs films Films à l'affiche Prochainement Séances Box Office Courts-métrages Tous les films Séries Streaming Trailers DVD VOD Kids DISNEY+ Mon compte Identifiez-vousCréez votre compte Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires 1 Bande-annonce & Teasers 129 235Vidéo en cours 15 Emissions d'actu ou bonus 331 227 252 356 253 529 416 148 902 Afficher les autres vidéos Commentaires Pour écrire un commentaire, identifiez-vous Voir les commentaires Pzwg.