RT@dObernai: Je ne me sens pas concernée par les insultes du poudré envers une école qui ne serait pas à la hauteur. Je fais du mieux que je peux avec les moyens qu'on me donne . Et si quelqu'un a quelque chose à redire, qu'il prenne ma place.
Cet article s’inscrit dans le cadre du carnaval d’articles organisé par Lucie du blog Ne pas se sentir à sa place est un sentiment difficile on se sent souvent incompris, inutile, seul même si nous sommes entourés de gens et impuissant, car on ne sait justement pas quoi faire pour trouver notre place. Quelle est notre place dans la vie ou dans la société ? Tout homme se pose un jour cette question, la plupart du temps face à un choix important ou l’incompréhension d’une situation. Ces moments de doute sont une opportunité pour prendre du recul et reconsidérer nos priorités. Les 4 piliers qui définissent notre place Que cherchons-nous habituellement à savoir lorsque nous rencontrons une nouvelle personne avec qui nous allons avoir une relation durable collègues, partenaire, etc. ? Son nom, d’où elle vient, ce qu’elle aime, ce qui est important pour elle et éventuellement comment elle en est arrivée à croiser votre chemin ses études et son parcours professionnel ? Pour comprendre notre place actuelle dans la vie, c’est exactement la même chose ! Nous nous trouvons à l’intersection de nos choix, de nos actions quotidiennes, du sens que nous donnons à la vie et de nos croyances. Êtes-vous prête à faire connaissance avec vous-même ? 1 Le présent que faites-vous ? Il n’est pas nécessaire de connaître sa mission de vie pour se situer dans le présent. En prenant une feuille et de quoi écrire, je suis persuadé qu’il est facile pour vous de répondre aux questions suivantes. Faisons le test maintenant Que faites-vous lorsque vous ne dormez pas ? Travail, études, activités, etc. Quelles sont les personnes avec qui vous échangez régulièrement ? Collègues, amis, etc. Que lisez-vous, que regardez-vous et qu’écoutez-vous ? livres, musiques, séries, etc. Quelle est votre première pensée de la journée ? Soyez-y attentif demain matin Les réponses à ces questions définissent qui nous sommes et notre place actuelle dans la vie. Elles nous donnent aussi une indication de la personne que nous sommes en train de devenir, car le moment présent est le seul instant qui permet d’influencer qui nous serons dans 1 minute, 5 ans et 10 ans. 2 Le passé que voyez-vous derrière vous ? Nous prenons chaque jour près de 35’000 décisions1, et notre présent ne fait que refléter la succession de ces choix. Sans poser un jugement positif ou négatif sur son passé, il peut être enrichissant de se retourner et d’observer le chemin parcouru pour y déceler des tendances et des apprentissages. À nouveau, je vous invite à répondre par écrit aux questions suivantes Comment en êtes-vous arrivée à faire ce que vous faites aujourd’hui ? Quelles sont les grandes étapes de votre vie ? Y a-t-il des moments/événements de votre passé qui vous ont fait perdre la notion du temps ? Si c’est le cas, essayez de fermer les yeux et de revivre ces moments avec une musique qui vous inspire. Visualisez-en les moindres détails sons, couleurs, odeurs, textures, etc. et soyez attentif à ce que vous ressentez. Notez ensuite ce qui vous vient spontanément à l’esprit. Le passé est une bibliothèque importante pour comprendre notre présent. Lié aux trois autres piliers, il peut offrir de précieux éléments pour comprendre ce qui nous nourri profondément ou comment nous en sommes arrivés à vivre une situation dans laquelle on ne se sent pas à sa place. 3 Le futur qu’est-ce qui est important ? Il est difficile et selon moi limitant d’anticiper ou prévoir son futur, mais il est essentiel de savoir ce qui est important pour soi. Cela permet d’orienter nos décisions dans le présent et de focaliser notre énergie sur ce qui compte vraiment à nos yeux. Je vous invite donc encore une fois à répondre aux questions suivantes Quel serait votre principal regret si vous deviez mourir dans 1 heure ? Comment aimeriez-vous que vos proches vous décrivent lors de votre enterrement ? Qu’est-ce que vous aimeriez que les gens retiennent de votre passage sur Terre ? Si vous découvriez une baguette magique à usage unique, que lui demanderiez-vous ? Que feriez-vous si vous aviez 100 milliards sur votre compte en banque ? Quel est le job ou l’activité de vos rêves ? Soyez le plus précis possible, même si vous ignorez encore ce que ce serait comment seraient les gens avec qui vous travaillez, quelles seraient les valeurs de l’entreprise, etc.. Si vous n’arrivez pas à répondre à ces questions, ce n’est pas grave. Recommencez demain, après-demain et jusqu’à ce que vous ayez des indices qui raisonnent en vous. Gardez également à l’esprit que ce qui était juste pour vous hier peut évoluer dans le temps. Il est difficile d’identifier ce qui nous conviendrait si nous ne savons pas ce que nous voudrions vivre. En définissant ce qui est important pour vous, vous identifierez de nouvelles opportunités, attirerez de nouvelles personnes et prendrez des décisions plus en accord avec vous-même. 4 Quelles sont vos croyances ? Nos pensées et notre perception de la vie sont fortement influencées par les croyances que nous avons intégrées, consciemment ou non. Solomon E. Asch avait déjà observé en 19512 dans le cadre d’une expérience que lorsque la majorité donne une réponse qui est manifestement fausse, les gens se rallient à cette information pourtant erronée. Cela montre la difficulté que nous avons à trancher entre nos propres perceptions et le choix des groupes dans lesquels nous sommes et avons été inscrits. Bien souvent, lorsque nous sommes certains à 100 % de quelque chose de normatif, il s’agit d’une croyance qui se manifeste. En voici quelques exemples Je suis comme je suis Il faut travailler dur pour réussir Je ne mérite pas plus qu’un autre de réussir Les hommes préfèrent les blondes Cette femme/homme est trop bien pour moi C’est impossible Les hommes ont toujours fait la guerre. Ce n’est pas aujourd’hui que cela va changer Que puis-je y faire ? Il/elle a eu de la chance, ça a cartonné pour lui/elle ! Je n’ai pas le droit à l’erreur Je n’y arriverai jamais L’humanité est le cancer de cette planète Ma vie, c’est… Le travail, c’est… Les riches sont… Ces types sont tous des… Toutes ces croyances sont là pour nous éviter de souffrir, mais elle nous empêche souvent de réaliser notre potentiel et nos rêves. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe aussi des croyances ressources dans le passé, j’ai toujours trouvé le moyen de m’en sortir, et je sais que je trouverai une solution à mon problème » et qu’il est possible de faire évoluer ses croyances. Lorsque nous identifions une certitude liée à une croyance, il peut ainsi être intéressant de se demander intérieurement si nous sommes absolument sûrs à 200 % de ce que nous affirmons. Par exemple, si vous vous dites que vous n’arriverez jamais à être riche en partant de rien… êtes-vous sûr à 200 % que c’est impossible ? connaissez-vous une personne qui était dans la même situation et qui y est parvenue ? que risquez-vous si vous essayez vraiment ? que se passera-t-il si vous n’essayez pas ? Il est fondamental de prendre conscience que rien n’est juste ou faux, et que beaucoup de vérités auxquelles nous tenons dépendent avant tout de notre point de vue, et de celui de la société dans laquelle nous nous inscrivons. À partir du moment que nous prenons conscience que nos peurs sont associées à des croyances, il est possible de percevoir de nouvelles opportunités dans sa vie et de prendre de nouveaux choix qui raisonnent plus avec qui nous sommes et ce qui est vraiment important pour nous. Cet extrait de l’épisode 6 de la saga Star Wars illustre bien le poids de notre point de vue. Trouver sa place en soi, et le reste viendra J’ai passé la majorité de ma jeunesse à chercher ma place pour réaliser récemment que le plus important n’est pas de trouver sa voie, mais de se trouver soi-même. C’est lorsque j’ai cessé de chercher à l’extérieur ma place que j’ai commencé à explorer en moi ce qui me touchait et m’inspirait. Peu à peu, j’ai cessé de vouloir concilier les intérêts des autres pour affirmer et partager progressivement mes pensées, mes croyances et ce que je désire vraiment. Que vous soyez nettoyeur, CEO d’une multinationale ou encore femme au foyer, vous pouvez dès maintenant commencer à exprimer qui vous êtes dans chacun de vos mots et chacune de vos actions. En oubliant cette quête de ma place dans le monde, j’ai attiré de nouvelles personnes et des opportunités professionnelles en accord avec mes valeurs et à l’échelle de la clarté avec laquelle je définissais ce que j’avais vraiment envie de vivre, être et avoir. J’ai aussi progressivement eu la force et le soutien de certaines personnes pour sortir de ma zone de confort et commencer à faire des choses dont je ne me serais jamais senti capable. Si vous ne deviez retenir que quelques mots de tout cela, je vous invite vraiment à… Être pleinement qui vous êtes. De rester centré avec ce que vous ressentez. C’est l’essentiel. Être attentif. Oser sortir de votre zone de confort tout en mesurant les risques. Suivre votre intuition. Savourer le chemin et célébrer la destination. Penser, partager et exprimer publiquement ce que vous aimez et ce qui est important pour vous. Quel que soit le temps que cela nécessitera, vous finirez immanquablement par observer que des personnes et des opportunités viennent presque naturellement à vous, au bon moment et au bon endroit. Que faire si tout cela ne vous parle pas ? Si j’avais lu cela il y a 5 ou 10 ans, cela ne m’aurait peut-être pas du tout parlé. Je comprends. D’un autre côté, je sais comme il peut être douloureux et difficile de ne pas se sentir à sa place. Seul. C’est pourquoi je vous invite vraiment à considérer que l’essentiel n’est pas l’activité, le travail ou les études que vous faites en ce moment, mais qui vous êtes et ce qui est important pour vous. Si vous êtes déçu et que vous recherchiez une réponse précise à cette question, en voici une proposition que je vous laisse adapter ou rejeter selon votre ressenti Observer et penser – Notre première mission est d’être dans un état constructif et de joie, et d’avoir de la gratitude pour tout ce que nous avons la santé, la nature qui nous entoure, nos proches, la nourriture, etc.. Face à un problème en quoi est-ce que ce problème est une opportunité ? ». Partager – Notre deuxième mission est d’apporter de la valeur au monde, d’aider les autres à atteindre cet état. Paradoxalement, cela nous aide à évoluer et grandir encore davantage. Construire – Notre troisième mission est de construire pour aider les autres à évoluer. Pour identifier la forme de ce chemin comment partager et quoi construire, voici quelques pistes Que faites-vous quand vous ne voyez pas le temps passer ? Qu’est-ce que vous apportez facilement aux autres et avec plaisir ? Pour quelles raisons est-ce que les gens viennent naturellement à vous ? Pour conclure, je pense qu’il est important de se remémorer régulièrement que… nous sommes importants nous pouvons faire une différence par rapport à ce qui nous touche là où nous sommes tout le monde peut aujourd’hui inspirer des millions de personnes grâce à un simple blog Il est primordial de croire en soi et en nos rêves personne ne croyait en Michael Jordan, Georges Lucas ou encore Walt Disney à leurs débuts Nous sommes là où nous sommes et depuis cet endroit précis, nous avons un rôle à jouer et la possibilité de vivre ce qui est important pour nous. Le futur est incertain, mais il y a deux choses qui sont absolument certaines nous allons mourir un jour, et nous sommes en vie en ce moment. Avant de mourir, les gens ne regrettent pas ce qu’ils ont fait, mais ce qu’ils n’ont pas fait. Conclusion l’histoire de l’avion En guise de conclusion, voici un texte dont la base a été écrite en janvier 2014 alors que je me posais la question en titre de cet article. Je ne réalisais alors pas encore consciemment l’importance d’exprimer qui nous sommes vraiment… *** Imaginez que vous êtes un avion sur une piste de décollage. Je sais, ça peut paraître bizarre. Imaginez vraiment que vous êtes un avion flamboyant neuf sur le point de décoller. Si nécessaire, fermez les yeux et visualisez vraiment la scène avant de poursuivre. Vous êtes à la fois l’avion et le pilote, comme si le pilote ne faisait qu’un avec l’avion. Je vrombis, mes moteurs sifflent, et la piste de décollage me fait peur. Je me demande si je vais pouvoir décoller, car je me sens très lourd. Je pèse des tonnes. Comme si le pilote lisait mes pensées, il me dit avec un sourire rempli d’empathie – Bien sûr que tu vas décoller. Tu es conçu exactement pour faire cela à ce moment. La seule question à te poser n’est pas peux-tu voler ? » mais le veux-tu vraiment ?». Car une fois que tu pousses les gaz à fond et que tu vires les minuscules blocs qui retiennent tes roues, ça va t’accrocher au siège ! C’est hallucinant tu verras. Et le pilote s’étouffa dans un rire de joie. Avant de lui répondre, j’attendis quelques secondes qui me semblèrent une éternité. Je le regardais et attendais que son regard croise à nouveau le mien – Et ensuite, qu’est-ce que je fais une fois que j’ai décollé ? – Lens, c’est la bonne question, car lorsque tu auras le courage de pousser la manette à fond, tu seras très vite en l’air. Tu devras choisir un cap, une destination, un but ou quelque chose qui y ressemble. Et la vérité, c’est que c’est probablement cela qui t’effraie le plus. – Oui, j’ai peur de me tromper de destination. De ne pas trouver d’aéroport pour atterrir. – Tu n’es pas seul. Je suis à tes côtés. Quand tu verras la Terre du ciel, tu sauras ce que tu dois faire. Pour le moment, le plus important est de décoller. Et, reprenant son sourire là où il l’avait laissé auparavant, le pilote ajouta encore – Tu sais, il n’y a pas besoin d’un aéroport pour atterrir. Il existe tellement de façon de tomber et de reprendre de l’altitude. Ah et en fait, je m’appelle Koran. Et après quelques secondes, Koran ajouta d’un ton grave – Lens, maintenant, si tu as envie de voir à quoi ressemble la vie vue du ciel, pousse la manette. Maintenant. Ne réfléchis pas. – Sans vraiment comprendre ce que je faisais, ma main descendit et enfonça la manette. À fond. C’était un moment délirant. L’avion ne semblait faire qu’un avec moi. J’étais l’avion. Et, levant les mains pour montrer à Koran que je l’avais fait, je fis sans m’en rendre compte le signal pour virer les blocs qui retenaient le train atterrissage. Et comme l’avion était conçu pour, il fit un énorme bond en avant en prenant de la vitesse. Tout s’accélérait, le paysage s’avançait contre moi à une allure incroyable. C’était à la fois effrayant et enivrant. Et, comme je l’avais fait des centaines de fois en simulation, j’appuyais un tout petit peu sur le manche à balai, ne croyant pas encore que cela serait suffisant pour incliner le nez de mon oiseau vers l’espace. Pourtant, l’impensable se produisit. Le frottement des roues s’estompa et le calme revint, comme me l’avait promis Koran qui avait les yeux fermés. Il jouissait de ce moment qu’il aimait tant. Il ne rouvrit les yeux que lorsque l’avion émergea au-dessus des nuages qui dansaient dans la lumière dorée du coucher du soleil. En me montrant un rayon qui perçait un nuage, Koran me dit – Lens, où vas-tu maintenant ? Et je me souvins encore comme si c’était hier de ce que je lui répondis – Cela n’a plus d’importance. Pour le moment. Et mon visage dessina un spasme qui devint très rapidement un sourire comme je n’en avais jamais eu. C’était donc cela que voulait dire lâcher-prise ». Je n’avais plus peur d’être qui j’étais. Et vous ? Dites-moi dans les commentaires… ce que vous avez ressenti en lisant ce texte, ce qui est vraiment important pour vous, ce que vous allez-vous faire ou ajuster dans votre vie. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout. Partagez cet article si vous pensez qu’il peut apporter de la valeur à d’autres personnes. **** 2 ASCH, Solomon E. [1951], Influence interpersonnelle. Les effets de la pression de groupe sur la modification et la distorsion des jugements », in C. Faucheux & S. Moscovici, Psychologie sociale théorique et expérimentale, Paris, Mouton, 1971. Version française de l’article paru in H. Guetzkow ed., Groups, leadership and men, Pittsburgh, Carnegie Press, pp. 177-190.
BonjourKriss, Je suis de plus en plus inquiète quant à ma relation avec l'homme avec qui je vis, père de mon futur enfant je me suis battue pour lui et c'es. LE FORUM DES ARTS DIVINATOIRES : Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. LE FORUM DES ARTS DIVINATOIRES. Je vous Bonjour toi, J’espère que tu vas bien. Aujourd’hui, on se retrouve avec un article dans la catégorie humeur ». Je suis certaine que l’on est plusieurs à avoir déjà ressenti ce sentiment ne plus se sentir à sa place. Tu sais, ce moment où tu te demandes quel est ton but dans la vie, car tu as l’impression que le monde autour de toi va trop vite et tu n’arrives pas à prendre ce recul nécessaire. Ne plus se sentir à sa place, tu l’as déjà ressenti ? On est dans un monde qui évolue rapidement. De nos jours, tout va trop vite. L’humain consomme et l’amour se consume rapidement. Mais est-ce que ça t’as déjà arrivé d’être tellement déçu par l’humain que tu préfères rester seul. Tu sais, comme le besoin d’un second souffle. Cette envie de tout recommencer ailleurs. Comme si tu n’avais jamais ressenti toutes les déceptions. Ne plus avoir envie de faire confiance C’est difficile d’accorder sa confiance à une personne. Lorsque tu la donnes, et qu’on te trahie. Tu positives en te disant que c’est normal de rencontrer de mauvaises personnes et qu’on apprend de ses erreurs. Mais comment on fait, lorsque l’on se met trop sur nos gardes ? Comme si on sait que forcément, à un moment ou à un autre, on va ressentir de la déception. Elle est où notre place vis à vis des personnes qui nous entourent, en voilà une question. On dit qu’aimer est plus fort que d’être aimé. Alors, c’est pour cela que l’on a l’impression d’être toujours le second choix, d’être cette personne qui arrivera à se débrouiller » quoi qu’il arrive. Si j’ai bien compris, pour vivre heureux, il ne faut pas s’attacher pour ne pas constater de la déception. Mais sans partage, sans amour, la vie est triste. Il est là le paradoxe. Lorsque tu reçois une bonne nouvelle ou lorsque tu veux partager une réussite, tu as envie d’envoyer cette nouvelle aux personnes à qui tu tiens. Mais la jalousie chez certains est bien trop présente. Doit-on vivre caché pour vivre heureux ? On trouve comment son chemin ? On dit que les trois angles principaux d’une vie épanouie sont l’amour, l’argent, un toit. Doit-on vraiment rentrer dans ses trois cases ? Trouver absolument un travail avec un bon salaire, avoir de l’amour en étant perpétuellement déçu et on doit s’endetter pour avoir son chez soi ? Pour trouver le chemin que l’on veut emprunter, on doit s’interroger sur le moi intérieur ». Il ne faut pas confondre avec la personne que j’aimerais être et celle que je suis vraiment. Certes, j’aimerais être une super chanteuse qui remplie les Zéniths, mais soyons réaliste, je ne sais absolument pas chanter. Certes, on a l’image que la vie d’artiste doit être exaltante mais sommes-nous prêts à vivre tous les sacrifices et surtout ce paraitre » qui n’est qu’illusion. La vie est d’accepter une société où tu rentres dans des cases bercées de désillusions, où l’humain est égoïste et ne pense qu’à lui et son confort personnel. Sa petite personne passe avant tout et il ne se gênera pas pour juger les autres. Si plus tard il se retrouve dans la même situation, il ne se souviendra pas qu’il t’as jugé ou alors il répétera oui mais moi c’est différent » alors que chaque histoire est unique et l’humain réalise ses choix avec ce changement incessant. Je refuse de croire en cette vie. Le syndrome de l’imposteur Tu l’as déjà vécu le syndrome de l’imposteur ? Celui où t’as juste l’impression de ne pas mériter ce qui t’arrives, comme si on te fait sans cesse culpabiliser. Mais on est dans un monde où j’ai la sensation qu’on nous culpabilise toujours. Quand on ose se plaindre pour une chose on nous dit qu’on n’a pas le droit de se plaindre. Pourquoi ? On nous dira qu’on a à manger et qu’on n’est pas dans un pays en guerre. C’est vrai et je le reconnais, mais on a le droit d’être triste parfois non ? Parce qu’on n’imaginait pas que cela se passerait de cette façon, qu’on ne pensait pas être autant déçu par des personnes ou pour toutes autres raisons. J’ai envie d’éprouver cette tristesse sans avoir cette culpabilité qui résonne comme une interdiction. Si je ne me sens pas bien à un moment donné, ce n’est pas que ma vie entière est nulle mais juste sur le moment, je ressens cette amertume. Trouver sa place après 25 ans Elle est où ma place ? Dans des cases que la société a pré-conçu ? J’aimerais dire le contraire mais malheureusement tout nous ramène à nous faire entrer tôt ou tard dans ses cases. C’est normal de ne pas trouver sa place en ayant dépassé les vingts ans. On pense qu’à 18 ans c’est normal de douter, de ne pas savoir où l’on va. On nous dit qu’à 20 ans on est trop prétentieux et on se croit les rois du monde. Mais passés les 25 ans ? On s’inquiète d’un coté de ne pas rentrer dans les cases selon le regard des gens mais en même temps on se demande si on ne passe au contraire à côté de sa vie ? Pourquoi à partir de 25 ans on ne s’intéresse plus aux objectifs d’une femme ? Son épanouissement ? Ses ambitions ? On voit la femme juste comme une personne reproductive Tu penses à faire un enfant ? T’attends quoi pour être en couple ? T’approches les 30 ans, bouge toi ! Donc à partir de vingt ans, je n’ai plus le droit de penser à moi ? D’atteindre les objectifs que je me suis fixée ? Ni de mener la vie que je souhaite avec tous ses doutes qu’elle comporte ? Ma place est là à côté d’un homme, à penser bébé ? Je rêve d’une vie où la femme peut se sentir libre et non jugée. Où elle puisse trouver sa place quel que soit le temps que ça prendra. Elle aura le droit d’être triste comme elle souhaite et pourra réaliser ses rêves. Un monde non dicté par le jugement, les cases, la course de l’argent. N’y a-t-il pas plus angoissant de devoir payer son crédit pour une maison parce que les codes » l’ordonnent ? On la trouve cette place ? Je suis de celle qui pense que pour vouloir quelque chose, il faut se bouger, se donner les moyens d’atteindre ses objectifs et ne pas prêter attention aux regards des autres. Sauf qu’en ce moment, j’ai vraiment l’impression que le monde est de plus en plus égoïste, solitaire et ancré dans le jugement. Alors, on écrit ses idées, on tente, on relève les obstacles, on change de direction, on tente de nouveau. Toujours selon ses propres envies et on finira par trouver son épanouissement et son chemin quel que soit le temps que cela prendra. J’aime beaucoup écrire mes ressentis et j’avais envie de les partager avec toi, ce soir sur le blog. On est beaucoup à cacher cet aspect, cette tristesse de ne plus se sentir à sa place » que l’on cache comme si on devrait avoir honte. Or, il s’avère que c’est tout le contraire, c’est normal d’avoir envie de changements, d’aventures, de sensations. La vie serait ennuyeuse sinon. Trouver sa place est un chemin tumultueux que la vie nous offre chaque jour de construire. Alors ce sentiment peut se faire ressentir plusieurs fois dans une vie et cela est ordinaire car on est des humains. Tu peux me donner ton avis en commentaire, je serais ravie d’échanger avec toi sur ce sujet. Pour suivre l’Instagram du blog, tu peux cliquer sur Instagram devenir adulte », je poste tous les jours dessus. A très vite VidéoTikTok de tiktok.peuvrel30 (@marie_3011) : « #pov : je suis une femme de la société mais je me sens pas à ma place. INSTA :Marie_Peuvrel #foryoupage #4u ». *je ne veux pas mourir, mais je ne veux pas vivre ainsi | I don't wanna die, but i don't wanna live like this | I just wanna feel something, i just wanna feel | . son original. Forum / Société Bonsoir tout le monde ! alors voilà j'avais besoin d'échanger et d'avoir des avis par rapport à ma situation. J'ai 19 ans, je suis étudiante, qui dit étudiante dit soirée. Je ne vois quasiment pas, pour la simple raison que je n'aime pas trop le goût des bien sortir le soir avec mes amis mais des que je me retrouve à une soirée chez quelqu'un les boites et les bars ne me dérange pas et qu'il y a beaucoup d'alcool je ne me sens pas du tout à ma place. Je me pose beaucoup de questions par rapport à ça. Est ce que je suis normale ? Est ce que je n'arrive pas à me lâcher ? Ou juste c'est ma manière d'être ?hier je me suis sentis très mal, oppressée,à une soirée au point d'être en pleur. Pourtant à cette soirée il y avait deux très bonnes amies avec moi mais le fait qu'elles boivent beaucoup m'a mis vraiment mal. j'attends vos retours ! Merci beaucoup d'avoir pris le temps d'avoir lu tout ça ! Votre navigateur ne peut pas afficher ce tag vidéo. tu es obligée de boire? non alors ne bois pas J'aime Si vous ne vous sentez pas à votre place quelque part n'y allez pas J'aime Comme je te comprend !!!J'ai connu ça aussi à l'adolescence. Certain traine ces pratiques alcooliques jusqu'a la 30aine, d'autre garde cette idée a vie qu'une fête, c'est ceux qui font celà une majorité on dirait, sont généralement creu et sans intéret. Trouve toi une activité sociale et tu verras que les fêtes avec des gens qui ont des pôles d'intérêt et des choses a dire boivent beaucoup moins et tu ne sentira pas ce décalage lié au fait que tu ne boives qui m'a sauver de ces fêtes insipide, c'est le théatre et le jeux de rôle. Dans ces milieux on boit, certe, mais pas n'importe quand et pas au point de pas pouvoir aligner 2 mots ou d'en être réduit à jouer a des jeux à boire par désoeuvrement. J'aime Vous ne trouvez pas votre réponse ? En réponse à user2134680663 Bonsoir tout le monde ! alors voilà j'avais besoin d'échanger et d'avoir des avis par rapport à ma situation. J'ai 19 ans, je suis étudiante, qui dit étudiante dit soirée. Je ne vois quasiment pas, pour la simple raison que je n'aime pas trop le goût des bien sortir le soir avec mes amis mais des que je me retrouve à une soirée chez quelqu'un les boites et les bars ne me dérange pas et qu'il y a beaucoup d'alcool je ne me sens pas du tout à ma place. Je me pose beaucoup de questions par rapport à ça. Est ce que je suis normale ? Est ce que je n'arrive pas à me lâcher ? Ou juste c'est ma manière d'être ?hier je me suis sentis très mal, oppressée,à une soirée au point d'être en pleur. Pourtant à cette soirée il y avait deux très bonnes amies avec moi mais le fait qu'elles boivent beaucoup m'a mis vraiment mal. j'attends vos retours ! Merci beaucoup d'avoir pris le temps d'avoir lu tout ça !ce n'est pas toi qui devrait être mal qd tes amies boivent bcp elles se bousillent la santé tu n'as pas à te poser des questions tu es tt à fait normale je comprends ta réaction car ma fille est ds ton cas maintenant il lui arrive de sortir avec un groupe de collègues qui boivent pas mal ce n'est pas pour autant qu'elle va faire comme eux un jour une femme parmi eux s'est écoulée ds la rue à la suite d'un malaise ! cela ne lui fait pas envie du tout J'aime Depuis que j'étais ado j'étais toujours la seule non buveuse de l'équipe. Heureusement cela ne dérangeait personne, j'ai toujours été habituée aux copains gros buveurs, je suppose qu'à l'époque j'étais très indulgente dans ce domaine. Mais je suppose que si mes meilleures amies avaient exagéré je l'aurais sans doute mal supporté. J'aime Jene me sens pas à ma place au lycée. J'ai 15 ans et j'ai fait ma rentrée en 2nde dans un lycée qui n'est pas mon lycée de secteur donc je ne connaissais presque personne.
Nepas se sentir à sa place est un sentiment difficile : on se sent souvent incompris, inutile, seul (même si nous sommes entourés de gens) et impuissant, car on ne sait justement pas quoi

Pourquoije n'arrive pas à trouver ma place sur Terre?Pourquoi je suis spectatrice de ma vie et je n'arrive pas à me construire?Je te donne des pistes de rép

iene me sens plus a ma place dans ce monde sans elle incapble de trouver ma place , qui je suis plus de place à table j'ai le sentiement de ne jamais être à la bonne place Y5ka.
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